Nous conseillons les entreprises qui participent à l’économie sociale.

Ces entreprises ont des natures juridiques distinctes mais ont en commun de partager, à des degrés divers, une finalité de service particulier à la collectivité.

Par leurs efforts conjoints, la part que ces entreprises représentent dans l’économie globale et dans l’emploi est en augmentation croissante.

Les associations

D’abord, il y a les associations qui n’ont pas de but de lucre et ne distribuent pas de revenus à leurs membres, ni directement ni indirectement : il s’agit des asbl, aisbl, fondations et associations de fait. Les termes”associations” et d’« institutions sans but lucratifs » (ISBL) les désignent.  Ces associations sont peut être les figures emblématiques de l’économie sociale, dont elle sont à l’origine.

Parmi les associations, il existe beaucoup de réalités tout à fait différentes :

  • Taille : petites associations de bénévoles et grandes associations gérées à la manière d’une entreprise commerciale.
  • Personnalité juridique : certaines associations n’ont pas la personnalité
  • Secteurs : les associations sont représentées dans quasiment tous les secteurs de l’économie. Nous travaillons pour les coopératives actives dans le domaine énergétique, ainsi que pour des associations actives dans la promotion des droits civique et de l’égalité, ainsi que pour des associations protectrices de l’environnement.
  • Activité économique : ces associations sont tantôt financées uniquement par des dons, du sponsoring ou subsides. tantôt par une activité qui leur est propres aient une activité économique accessoire.
  • Participation des pouvoirs publics : certaines « entreprises » sociales sont partiellement ou totalement financées et/ou contrôlées par les pouvoirs publics.

Certaines sociétés

Ensuite, les sociétés qui, comme les autres sociétés commerciales ont des actionnaires, mais qui ont une finalité sociale reconnue dans leurs statuts et une distribution de dividendes limitée.

On retrouve les même distinctions que celles esquissées pour les associations. Les sociétés plus classiques, qui redistribuent une partie de leur revenus.